le jeudi 2 décembre 2021
Une étude rétrospective britannique a montré que les femmes atteintes de SOPK ont deux fois plus de risque de diabète de type 2 ou de pré-diabète que les femmes non atteintes par cette maladie et que l’utilisation de contraceptifs oraux combinés réduisait de 26% la probabilité de développer un diabète de type 2 ou un pré-diabète. Ils émettent l’hypothèse que la pilule réduit ce risque en atténuant l’action des androgènes, mais insistent sur la nécessité de confirmer ces résultats par des études randomisées.