le mardi 11 janvier 2022
Le tribunal judiciaire de Paris a jugé ce mercredi 5 janvier que Sanofi avait « commis une faute en manquant à son obligation de vigilance et à son obligation d’information » sur les risques de ce médicament pour les femmes enceintes. Par ailleurs la justice a estimé mercredi “recevable” l’action de groupe initiée dès 2017 par l’Association d’aide aux parents d’enfants souffrant du syndrome de l’anticonvulsivant (Apesac). Sanofi a annoncé son intention de faire appel.